Parution du 14 mai 2013 dans le Petit Journal d’Athènes

« Mes chers Compatriotes et Amis de Grèce,

Je suis venu dans le cadre de la campagne des législatives à 2 reprises à votre rencontre, du 1er au 4 avril et du 14 au 17 avril, rencontrant à cette dernière occasion votre Petit Journal, et débutant symboliquement ma campagne chez vous et avec vous pour vous témoigner de mon respect et de mon soutien. A ces multiples reprises, où vous avez pu mesurer ma connaissance de la Grèce et de ses problèmes, j’ai pu visiter l’Ambassade, le consulat d’Athènes, les services de l’emploi, de l’économie, d’Ubifrance et de son soutien à l’Export, du magnifique Institut français, de la prestigieuse Ecole française d’Athènes, du Lycée Franco-Hellénique, ou j’ai assisté à la fameuse Grande Course des primaires, des CDI et Bibliothèques, cœur du savoir pour tous, et j’ai enfin été reçu par le Conseil d’Administration de la Chambre de Commerce Franco-Hellénique. A travers ces longs échanges y compris avec le Conseil d’Accueil Athènes ou des Membres de l’Entraide, j’ai pu tester la validité et la cohérence de mon Programme pour vous, qui s’articule autour des 3 E :

Education (écoles, bourses, francophonie, recherche, diplômes, formations),

Entreprises (croissance, emplois, export, Small Business Act et professions libérales, limitations des impôts)

et l’Entraide (solidarités, maison de retraite francophone, formation continue des conjoints expatriés, non stigmatisation de la part de l’Europe, aides aux retours en France avec priorité à l’emploi, la formation et le logement).

Bourses scolaires et développement de la Francophonie, maintien des budgets des Institutions françaises, facilitation des partenariats avec les entreprises, comme mon expérience le montre : Tels seront mes dossiers prioritaires.

La Solidarité de la France et de l’Europe vis à vis des Français de Grèce est importante, car le passeport français n’est pas un bouclier anti-crise. Tous ne sont pas nantis loin de là et la France doit en tenir compte, sans cliver ni stigmatiser. Beaucoup ont besoin d’aides, aux côtés des actions sérieuses du tissu associatif.

Ma proposition exclusive d’aide au retour pour ceux qui le souhaitent et en ont besoin va en ce sens.

La République Française est une et indivisible et les Français de Grèce sont des Français à part entière. La France et plus particulièrement le Député de la 8è circonscription, doivent les aider à surmonter leurs difficultés. Ils sauront par leur force et leur dynamisme faire rayonner la France encore plus, le moment venu.

Il ne faut plus punir mais aider. Le temps est à la main tendue et au regard vers l’Avenir.

Toutes mes propositions sont chiffrées et réalistes. Ceci n’est pas qu’un Programme ; C’est un Engagement.

Retrouvez moi sur le site

www.cyril-castro.eu

Et Mobilisons nous tous pour réussir ensemble ! »

Cyril Benjamin CASTRO